• Le bon, le mauvais et le laid – Partie 2

    05-04-2016

    L’arrivée de la saison de l’octroi des prix d’excellence en production cinématographique nous fait penser à un des grands ‘western’ Le bon, la brute et le truand (The Good, the Bad and The Ugly).  Ce film nous inspire à vous présenter notre liste des tendances, bonnes, mauvaises et laides au sein de l’industrie de relogement, selon trois perspectives : partie 1 – les fournisseurs de services de relogement, partie 2 – les autres fournisseurs et partie 3 – l’élaboration de politique de relogement.

    Les autres fournisseurs

    Le bon

    Les fournisseurs offrent maintenant des outils informatisés qui améliorent la communication et les procédures au point où le recours aux services de gestions de relogement peut être réduit. Ces outils facilitent, par exemples, l’accès à des renseignements sur les destinations, le suivi des expéditions de biens, l’auto-évaluation pour les fins des règles d’immigration et le suivi des voyages d’affaires pour par rapport aux règles fiscales.

    Pour mieux gérer les périodes occupées, lorsqu’ils ont du mal à se procurer un nombre suffisant de chauffeurs, les déménageurs déploient des programmes de conteneurs qui permettent l’envoi d’articles ménagers par le biais des compagnies de fret.

    De plus, les compagnies de déménagement commencent à simplifier leur tarification pour alléger la vérification et augmenter la transparence.

    La fusion des prestataires de services de fiscalité et d’immigration offre maintenant la possibilité d’un point de contact unique pour la gestion de ces activités ainsi qu’une meilleure intégration des services du programme de relogement.

    Les fournisseurs de services de fiscalité et d’immigration offrent des structures de frais qui combinent des services de consultation avec le soutien transactionnel, ce qui permet aux entreprises de réduire leurs coûts globaux dans ces domaines.

    Le mauvais

    Étant donné le rôle d’intermédiaire de la compagnie de gestion de services, il est rare que le fournisseur et le client communiquent directement au sujet des services demandés. Les directives sont parfois mal transmises aux fournisseurs donnant lieu à des malentendus et des frustrations chez le client et ses employés.

    On remarque une tendance chez les entreprises de réduire le nombre de relogements et, dans certains cas, de limiter le soutien aux employés.  Les effets se font ressentir chez les fournisseurs.

    Le laid

    Les structures tarifaires axées sur des frais de renvoi crées une distribution déséquilibrée des coûts et les fournisseurs ne reçoivent pas une part équitable des revenus par rapport aux services qu’ils ont rendus. Ces honoraires portent à confusion et les entreprises comprennent très peu la répartition des frais entre la compagnie de gestion et ses fournisseurs, même dans les cas de contrats à base zéro.

    L’absence de protocoles et de contrôles pour la vérification des biens expédiés augmente la possibilité que des erreurs, de l’altération de poids et des surcharges se présentent dans la facturation. De plus, une structure de frais très complexe contribue à une lourdeur administrative pour les entreprises et un coût global élevé.